Depuis l'annonce, à mon retour d'Ariège, d'une échéance à remplir, négligée jusque là (pourquoi ?), je fais un nouveau tri pour ne garder ici que ce qui peut y être contenu. C'est un gros travail : débarrasser le superflu (qui un jour pourrait servir...) pour une "bricoleuse" comme moi, jamais certaine de ne pas manquer !
En même temps, je me réjouis de m'alléger, impatiente du renouveau qui en découlera. Comme ma décision dernière d'abandonner le jardin que je fais depuis 12 ans maintenant ; une rupture m'apparaissant aussi comme un souffle de liberté enfin là.
Des indices ; lorsque, aux tentatives de Lydie- bergère et fromagère que nous avions connue ensemble- pour retrouver Vincent, je répondis avec une fermeté nouvelle que je ne souhaitais aucunement la renseigner à ce sujet, et pour longtemps...
Je retrouve le temps de vivre ; la rivière sous mes fenêtres me désaltère à heure fixe des traumatismes poussiéreux d'une journée passée à choisir ce que je garde ou non...
Commentaires
tes photos sont sublimes ! merci France !