Et puis, la grande famille des paysans, le marché et le sourire des clients tandis que se gangrène lentement l’entreprise commune devenue péremptoire. Le sursaut ensuite pour renaître, les élans solidaires, l’énergie joyeuse et conquérante…. jusqu’à ce qu’à nouveau l’ouragan mortifère casse l’élan dans l’œuf, renversant tout ou presque sur son passage.
Aucun lieu je le sais ne me donnera l’apaisement qui me manque dans ces moments là. La tranquillité de ma nouvelle demeure me le prouve jour après jour tandis que ma mémoire me ramène inlassablement à ce qui fut interrompu dans cette violence que j’ai cru mériter au point de me punir moi-même tout en croyant ne répondre qu’à celle qui m’était faite !
Il serait temps que je cesse toute con-fusion et maternage à ce sujet en laissant à celui qui m’insulte la responsabilité de ses propos, enfin lucide ?
Pendant que j’écris ces mots, un soulagement immense et le jour qui se lève sur un ciel découpé, magnifique ! Je me sens si merveilleusement bien !!!
Commentaires
Oui, Hélène, je m'intéresse un peu plus à mon "lieu" intérieur désormais, face à une situation difficile...
Et oui aussi Françoise, j'y pense à faire des cartes postales, d'autant plus depuis notre projet d'exposition à Corbes avec Hélène !!!
Bonne journée à toutes deux
et tes photos de fleurs sont ... merveilleuses aussi ... je lis ton blog alors que je suis encore ensommeillée et grognassou , et alors ce soleil .. m'illumine ! Quand tu auras envie de faire des cartes postales avec tes photos , préviens moi ! bises F
Tu as trouvé la réponse, non ? L'apaisement que tu cherchais en un lieu , tu ne le trouveras qu'en toi...
bises