Découverte de cette après-midi : la voie verte reliant Sommières à Calvisson, avec l’ami Robert. Après quelques déraillements intempestifs de ma monture, un claquement s’est fait entendre : la petite roue avait perdu une dent et manifestait son hoquet. Ca ne m’a pas empêchée de rouler en piquant quelques pointes de vitesse dès que le vent de face m’offrait une accalmie. OUAAAAH… , comme c’était bien !!! Toutes ces bonnes sensations (celle de sentir mon ventre se serrer pour résister un peu mieux à l’effort, celle de mon visage fendant le vent à toute allure, celle du soleil chauffant doucement ma peau et enfin celle de la détente autour d’un « panaché ») m’ont béni l’esprit. En rentrant, j’arrivais à peine à atteindre la vitesse autorisée sur la route, moi qui me sent si souvent limitée !
Hier c’était repiquage et tuyauterie pour le jardin. Lui en tenue de mécano, moi en oripeaux divers. On a dégusté les truites de François, pêchées de 2 jours avec un Jurançon ramené de ma dernière virée pyrénéenne. La belle vie quoi !