Une petite bête noire explore le haut-parleur de mon poste radio tandis que la voix de Françoise Vergez s’y promène. Elle hésite sur la direction à prendre puis disparaît soudainement lorsqu’un interlocuteur masculin prend la parole. Mâle ou femelle, je l’ai laissée en vie… par courtoisie.
Revenue de mon séjour parisien où j’ai « finalisé » le programme que je m’étais fixée entre les impressionnistes, Toutankhamon, Doisneau, les maîtres du Bambou et la minéralogie. Ce dernier chapitre m’a laissé le souvenir le plus chatoyant. Et un émerveillement infini pour ces produits si divers de la nature à l’état brut.
La main de l’homme pourtant peut en extraire le meilleur, qu’il soit végétal ou minéral. Je ne cesserai jamais d’admirer le raffinement dont elle est capable pour servir la beauté d’une forme imaginée.