Après cette rupture, je me suis remise à «m’habiller» , jetant l’accoutrement informe devenu quotidien pour des nippes choisies où je me sentais femme. Nous nous étions tant séparés de lit et de corps !
Différente aujourd’hui, je cherche encore la balance : l’Ayrolle sera « reprise » par le frère de Yolande qui projette de faire construire non loin, sur une des terres héritées que le PLU transforme en avantage : une aubaine pour cette famille d'anciens paysans, comme si je l’avais renniflée…
Mon petit jardin ici me plaît sans me procurer le changement que mon corps réclame de se voir dehors. Je m’obstine dans la vannerie, pourquoi pas ? Au moins, je décide de mon temps et de mes revenus…
Henny, Jeanine, Pascal, … j’aspire à ces moments futiles de nos rencontres informelles. Je change de patrie sans me résigner. Ici des opportunités m’échappent par oubli. J’aménage encore, je classe, évide et range -pardon de ces digressions, pourtant …j’avance !
Mais, parlons d’autres choses :
en prenant la traverse du gouffre...
De pas en pas, jusqu'au musée de la soie... à St Hippolyte du Forteux, ils sont bien vivants, les vers...
Commentaires
Merci Pascal ... alors je continue !
Comment va l'océan (humm, j'en rêve)
j'aime toujours autant lire tes balades que tu fais tout en faisant des réflexions sur la vie, ta vie ou celle des autres. C'est rafraichissant...
et les photos toujours très bien!