Sans clinche ni tournevis, impossible d’ouvrir. Je repars bredouille sans même oser déranger mes hôtes, à qui je m’en ouvrirai plus tard et qui me suggèrent d’emprunter une poignée à une autre porte. C’est vrai qu’il y en a , des portes, dans cet ancien appartement. J’espère y trouver donc de quoi me dépanner.
Ce matin, il pleut toujours et je retarde encore le moment d’aller bricoler là-haut. Ma porte d’entrée a de nouveau gonflé et je peine à l’ouvrir en tirant sur la poignée… qui me reste entre les mains, cassée net ! Pas plus mal puisque depuis son installation je ne cessai de la revisser d’un côté ou de l’autre ! En attendant, ce jeudi 24 décembre, j’ose appeler mon bailleur qui, par chance, me répond et se montre tout à fait disposé à faire réparer rapidement cet incident. J’appelle donc son « homme à tout faire » qui, en fin de matinée, m’amène une clinche plus ordinaire certes, mais également plus efficace. Nous devisons sur son dernier voyage en Egypte et , une fois l’appareil remplacé, me voilà nantie d’une poignée valide supplémentaire… pour ouvrir ma grotte ! Etrange coïncidence qui m’apporte sans effort ce qui me manquait : c’est Noël !