Entre ça, l’arrosage et les plantations (je suis en train de repiquer mes fraises, oui Hélène !), le goutte à goutte qui reste à installer, les branchements collectifs à terminer (demain soir), je respire à peine. Mais voilà, ça me tient à cœur d’y arriver, de faire vivre ce lieu et cette association, riche désormais d’une trentaine d’adhérents-jardiniers, tout un monde ! Et une popularité étonnante pour un village plus petit que celui où, durant mes quinze années de présence, les jardins familiaux ne parvenaient à drainer que la moitié à peine de ce chiffre.
Pour l’instant, je farfouille entre un bout de tissu, le portable, une cuillère et un panier à la recherche d’un briquet qui allumerait ma cigarette. L’appareil photo est une erreur : trop volumineux pour ma poche, je le laisse souvent là où je devrais l’emporter. Notice en anglais ; du matos e-bay frisant l’arnaque car vendu avec des batteries à plat. Me faut le remplacer sous peu, sous peine d’images manquées. Même pas cher (25 €), j’en fais les frais à ajouter au prochain.
Hier j’y avais pensé, alors voilà un aspect de mon nouveau territoire potager, presque trois fois plus grand que ma maison…
Dalhias, courgettes, compost, outils, tomates, poivrons, aubergines, iris, glaïeuls, roses, verveines, courges et concombres
Commentaires
Oui pour les blettes, chère Françoise, et pour les tomates, OK si je peux te l'échanger contre une variété cerise ; qu'en dis-tu ?
hé , j'ai des coeur de boeuf jaune si tu veux ! et des blettes à carde rouge ?
Du bon et du beau en perspective ...