
Après 40 mn de route, je me suis enfin garée, joyeuse et innocente,
devant le centre nautique. Il était 13H, mon créneau favori car
celui où je ne risque ni de me faire gifler par un crawler compulsif
ni ralentir par une brasseuse indolente, à 3 ou 4 par ligne, faute
de mieux.
Plouf,
mon rêve de bonheur transitoire est tombé à l’eau lorsque ma
carte s’est vue refuser l’entrée à 2 reprises, refus confirmé
par la guichetière qui m’apprends que les bassins ferment dans 30
mn et qu’ils ne rouvriront qu’à 16H.