posté le 24-10-2009 à 19:34:33

récoltes d'automne

En allant chercher des 

j'ai trouvé des
Ici, personne ou presque ne ramasse cet excellent champignon ; j'ai nommé "la coulemelle" ou lépiote élevée. Comme ça, il reste facile à trouver et encore plus à déguster en omelette...
 


 
 
posté le 22-10-2009 à 08:03:24

Elle arrive !

Tempête sur le lac depuis hier : le vent souffle en raffales et la pluie tombe de travers, emportée par la puissance du souffle. ELLE s'est remise à gronder, mugir, grosse de toute cette eau subitement déversée dans son lit...

 


 
 
posté le 20-10-2009 à 23:34:45

Chouette, il pleut !

Je rentre chez moi pour entendre la rivière à nouveau bruisser le long du barrage artificiel qu’un maire un peu fou fit construire pourretenir uneflaque censée ravitailler un canadair fatigué… Au vu de la proximité du pont, on se demande déjà comment cet écervelé arriverait à se poser, puis tout de suite après, en lorgnant sur l’étendue du « lac » combien de semaines s’écouleraient entre deux passages… Pas besoin d’être intelligent, juste observateur, alors quelle mouche l’a piqué, lui, l’élu ? Toujours est-il qu’à force de pouvoir et d’y croire, il nous a collé une belle bêtise sous nos fenêtres, et sans débourser un centime, pardi !!! A ce compte là, d’autres inepties nous guettent encore faute de vigilance : REMBOURSEZ !
 


 
 
posté le 19-10-2009 à 22:38:31

un peu de musique

Puisque elle m'occupe deux soirs par semaine en me donnant aussi le plaisir des rencontres quand ce n'est pas au festin.

 


 
 
posté le 17-10-2009 à 23:43:16

Oublier

Lorsque Corinne a découvert l’Ayrolle, hier après-midi, sa première question fut : « Mais pourquoi pars-tu d’ici ? » Tellement beau, tellement pratique : oui, c’est ce que je pense aussi, abstraction faite de la nécessité d’y venir en voiture, même de St Jean, étant donné la situation pentue des kms à parcourir. Non compris également les chiens qui aboient parfois des heures durant à proximité… Mais pour le reste, oui, elle a raison : l’accès, la terre (la plus riche de tous mes jardins depuis 10 ans), la gestion de l’eau et de la clôture électrique (forage et batterie reliés à la maison), le site enfin perché sur une butte, là où des moines décidèrent un jour d’arrêter leur pèlerinage.
 


 
 
posté le 15-10-2009 à 01:22:41

L’hiver ?

Malgré l’étanchéité des volets et fenêtres, il faisait froid ce matin : 6°C d’après l’aide à tout faire désigné pour m’expliquer le fonctionnement de ma chaudière au fuel, récemment déplacée du salon à la cave. Mise en marche réglée, je m’aperçois que si les radiateurs chauffent très vite, le thermorégulateur installé au premier étage est inutilisable puisque non relié à la chaudière lors de l’installation. Je modulerai donc manuellement la température après avoir signalé cet avatar au propriétaire…

 


 
 
posté le 10-10-2009 à 17:56:24

ICI

A peine entrés, Brendan et Chris sont allés droit sur «la fenêtre», irrémédiablement attirés par « the scénic view », la présence toute proche du vert et du ciel baignant dans la lumière de ce midi là. J’ai tiré le rideau, repoussé la vitre, ouvrant un peu plus l’indéniable spectacle, les amenant à celle qui m’offre tantôt son ruminement constant, tantôt sa fraîcheur apaisante sur un jardin sauvage.
 


 
 
posté le 09-10-2009 à 23:50:44

surprise !

A la recherche de l'emplacement adéquat pour tremper mes fibres, devinez ce que je découvre au bord de l'eau ?
 


 
 
posté le 09-10-2009 à 02:39:48

Juste avant la pluie

Le jour me réveille sur ce paysage après une autre nuit passée fenêtre ouverte, guettant le frelon importun (déjà chassé deux attirés par la lumière) en savourant le calme de l’eau. Le chant des oiseaux accompagne une pluie fine et discrète ; un moment précieux suspendu dans l’attente...

 


 
 
posté le 06-10-2009 à 21:30:14

brèves

De la grande salle du foyer, on voit et on chante...

 


 
 
posté le 02-10-2009 à 00:12:55

Chaud !

Le corps fiévreux, je suis allée me plonger dans l'eau revigorante du gouffre. Un bain revigorant, trop court pour cause d'appréhension à nager dans cette étendue noire et rocheuse. Mais quelle douceur bienvenue en ce premier jour d'octobre !