posté le 10-04-2019 à 23:11:58

Un moucheron féministe ?

Une petite bête noire explore le haut-parleur de mon poste radio tandis que la voix de Françoise Vergez s’y promène. Elle hésite sur la direction à prendre puis disparaît soudainement lorsqu’un interlocuteur masculin prend la parole. Mâle ou femelle, je l’ai laissée en vie… par courtoisie.

Revenue de mon séjour parisien où j’ai « finalisé » le programme que je m’étais fixée entre  les impressionnistes, Toutankhamon, Doisneau, les maîtres du Bambou et la minéralogie. Ce dernier chapitre m’a laissé le souvenir le plus chatoyant. Et un émerveillement infini pour ces produits si divers de la nature à l’état brut.

 

La main de l’homme pourtant peut en extraire le meilleur, qu’il soit végétal ou minéral. Je ne cesserai jamais d’admirer le raffinement dont elle est capable pour servir la beauté d’une forme imaginée. 

 

 


 
 
posté le 31-03-2019 à 23:26:28

Une belle rencontre

Alain Platet, créateur multitâches et Talou, plasticienne inspirée, exposent à St Martin de Corconac ; c’est lumineux et habité. Ils travaillent toutes sortes de matières : fer, verre, céramique, … et Alain m’avoue avoir réalisé une guirlande de 300 m avec des bouteilles plastiques thermodéformées pour la ville de Lyon !

Des artistes discrets et  sympathiques qui ne se la pêtent pas, ça vaut le détour. En plus, l'un m'est agréable à regarder parce que son visage me rapelle celui d'un homme aimé...

 

 

 

 

Côté jardin ça bourgeonne malgré le gris persistant des arbres :

 pommier, cerisier ou tulipe

les fleurs sont toujours belles !  

 


Commentaires

 

1. anaflore  le 01-04-2019 à 19:17:14  (site)

Bravo pour la photo du jour

 
 
 
posté le 23-03-2019 à 21:13:10

le début des fleurs

 

Premières tulipes s’épanouissant sous un temps de mai. Pas de pluie depuis des lustres mais, après 10 jours de vent fort et glacé, enfin une accalmie salvatrice.

J’ai aménagé un coin pour mes derniers glaïeuls attendant la terre. Le goutte à goutte est en place et, après le dressage des tuteurs à tomates et les semis de pleine terre (fleurs, salades, aromates), le printemps sera passé.

C’est quand même la période que je préfère car l’été ici est invivable, trop chaud !

Le moment pour moi de préparer mon oasis de fraîcheur, par petits bonds répétés entre deux retours. En attendant, c’est dit ;  j’irai voir Toutankhamon début avril. Et bien d’autres choses encore !

 


Commentaires

 

1. PINPREnelle  le 24-03-2019 à 13:36:39  (site)

bravo photo du jour
bonne semaine jolie blog
amitié du vaucluse

2. elena13  le 24-03-2019 à 15:13:18  (site)

Bravo pour la photo du jour !!!

 
 
 
posté le 10-03-2019 à 19:58:40

Dans quelle étagère ?

Cette année, j’ai du mal à ranger… Oh, à l’extérieur, hormis la moquette de ma chambre qui a besoin d’un sérieux toilettage ou d’une mise à la benne, hormis les reliques habituelles (albums photos, sélection de  photos du  temps où « j’esposai », carnets de chants, classeurs de partitions soigneusement camouflés), l’aspect général de mon lieu de vie reste ordonné.

Mais bizarrement, alors que je redoute les 2 mois d’été à passer ici, je n’arrive pas encore à m’organiser pour les passer ailleurs ; ce n’est pas faute d’y penser pourtant. Je sais juste que j’ai envie d’un périple à vélo et de bains de mer dans des vagues géantes.

Me voici donc partie à explorer les différentes possibilités de longer l’Aulne et, à défaut de trouver mon compte dans les prestations disponibles, revenue à l’obligation de m’organiser sans elles. Car je ne souhaite pas m’arrêter en hôtel comme tous le proposent, non ! Il y a trop longtemps que j’aime rencontrer autrui autour d’une même table où chacun s’assied après s’être concocté son « frichti » plus ou moins savoureux. Il y a trop longtemps que l’étape signifie pour moi un mélange de confort, de simplicité, d’espace et de convivialité, que je n’ai jamais trouvés dans la formule hôtelière. J’ai donc commandé un guide récent sur ce parcours en espérant y avoir suffisamment d’informations pour me faire le mien « à la carte ». La difficulté principale restant celle de combiner mes étapes avec la possibilité de faire transporter mes bagages de l’une à l’autre… A voir !

Puis, où aller pour mon second voyage ? Celui coïncidant avec les 7 jours de « fête votive pour les sourds » durant lesquels j’ai envie d’étrangler les organisateurs un par un chaque nuit que je ne passe pas à dormir ? En plein mois d’août, où aller me rafraichir au calme sans traverser toute la France ? J’étudie vos suggestions bienvenues !!! Vite ! Il me faut donner mes dates à Isabelle qui s’occupera de mon jardin pendant ce temps-là et où j’ai planté mes 2 rangs de patate (paillés) cette après-midi !

Ca au moins, c’est plié !

 

 

 


 
 
posté le 17-02-2019 à 22:36:37

En short oui mais…

D’accord, j’ai bronzé… puisque me voilà accusée de revenir du ski (souvenir lointain de mes jeunes années 3 étoiles suivi d’un mix stem chasse-neige quand le tout shuss enivrant ne s’y prêtait pas). Aujourd’hui, je serais plutôt adepte du silence raquettes sur le crissement poudreux d’un tapis sans taches. L’idée me trotte parfois de ce retour dans un chalet tout bois, convivial et joyeux, les pieds au coin du feu tandis qu’un repas bienvenu s’apprête à me régaler. Puis j’entends A. m’expliquer son dernier périple neigeux sur la route ; bloqué 3 H sans possibilité d’avancer, dans le froid métallique  d’un véhicule inadapté aux circonstances. Je reste donc ici… en rêvant d’un jour où le déneigement des routes ne m’empêchera plus d’aller m’enfoncer dans cet exil chaleureux.

En attendant, je m’applique à tailler, nettoyer et extirper l’herbe qui prend racine sur ma parcelle depuis ces quelques mois où je n’y étais pas. Avant l’arrivée du fumier, tout doit être en place ! Comme le soleil est de la partie depuis 1 semaine, je toilette en petite tenue, par 15 ° à l’ombre. Jambes et épaule nues, je pourrais même passer le maillot en tout début d’après-midi ! Mais emportée par ma tâche, je ne me rhabille souvent que bien trop tard, quand le froid, ressenti bien avant, commence à se faire indécent. Trop tard, de retour au chaud, la gorge me gratte, la tête s’embrume et je frissonne. Zut ! J’ai horreur d’être malade… sauf si je peux être chouchoutée. En prévision, je ferais bien de m’organiser ; penser donc  à  ramener de la ville : un plateau repas au lit télécommandé, un lutrin tourne-pages pour mes romans préférés (toujours au lit), une livraison quotidienne de « fruits de mer » et quelques grogs au Habanna et miel de lavande, la vue sur la mer et le bruit des vagues… 

 

 

 

 


Commentaires

 

1. Françoise R  le 22-02-2019 à 20:52:37

Aïe ! encore une imprudente , victime de cette météo trompeuse … j'espère que ton passage enrhumé ne durera pas trop … Bises

 
 
 
 

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