posté le 30-10-2010 à 22:25:33

De la gare

aperçu
J’étais à l’heure après une relooking du salon la veille au soir (inspirée sur le tard, le voici bien plus « cocoon » désormais) et le ménage du second étage ou « chambre des invités », ex-atelier (mais trop haut car ancien grenier dont les marches sont dures à monter !).En passant, j’ai dépoussiéré mon antre à moi et me voilà prête à emmener le tas de fourbi (ça pour la poubelle, ça pour le jardin, ça pour la cave…) se pressant devant ma porte, le vélo casé depuis deux jours sous le porche de ma voisine d’en face au lieu de trôner dans le salon, comme d’hab… Il faut dire que je me régale sur icelui, fonçant à tout vent et quasi sans effort sur le tour du village dès qu’une course m’appelle. Jusqu’à notre rencontre, je boudais l’engin, déjàdérobéavant même d’avoir tenté les pentes alentour. Celui-là, un VTC, me demandait peine, me faisant ahaner même sur le faux plat. J’avais fini par le prendre en grippe en le retournant à sa poussière. Le voleur ne savait pas ce qu’il faisait…
 


 
 
posté le 29-10-2010 à 18:50:22

Ahrrgh...

Manuela arrive demain et c’est encore le bazar ici ! Je retrouve la pâte à bois près de la machine à café, la tasse à café en équilibre sur un set de table couvrant le couvercle micro-ondes… Le rotin essaime partout, et mes « idées » en cours de réalisation s’étalent dans le salon-atelier-plateau TV : l’horreur pour le nouvel arrivant et la honte pour moi confortablement installée dans cet éparpillement habité !
 


 
 
posté le 24-10-2010 à 17:36:16

Vous savez quoi ?

Après avoir traîné toute la matinée sur le net à la recherche d’un porte-bébé « super canon pas cher » pour la naissance de ma première nièce, je me suis décidée à sortir, le bras droit commençant à fourmiller. Petite douche propette et hop au… jardinet, c’est à dire le petit fourre-tout qui jouxte ma cave préau, un étage au-dessous. Idée première : récolter outils et poireaux en pépinière (depuis deux mois presque !) pour aller planter tout ça au GRAND jardin (me vl’a riche, enfin !!!!) de 150 m2 (Ah bon, c’est tout ?...) , à quelques roues de vélo. Donc, je me mets à farfouiller, tombe sur ces gros bidons de 20 l dénichés récemment à la déchetterie occupant tout mon interstice abrité sous prétexte d’être en partie remplis de fioul (tu sais celui, domestique, que mon chauffagiste jadis préféré m’estorqua par 80 litres, parce que soit-disant « y s’enflammait pas, forcément, t’as pas vu sa gueule pleine d’eau ? !!!). Me voilà donc partie pour réajuster le niveau des cuvesjumelles en y remettant les derniers 60 litres tirés mais, sous ma surveillance, cette fois non emportés. Pour accéder au haut des cuves, j’ai besoin d’alléger mes récipients. Le bidon de 20 litres se divise donc en 5x 4 litres. Autant de manipulation à multiplier par 3 (2x20 litres = 60, vous suivez toujours ?). Je peste, bien sûr, contre cet « enfoiré » qui, si je l’avais écouté, m’incitait à vider mes 600 litres de fioul par incompétence technique. Eh oui, môssieu, c’était juste une panne électronique qui bloquait la pompe à gazoil !!!
 


 
 
posté le 22-10-2010 à 00:02:45

En rodant autour du gardon

Réunion cette après-midi pour la préparation d'un marché de créateurs dans le cadre de l'ESF... Allez, je vous le donne : Economie Sociale et Solidaire à l'honneur pour tout novembre (faut bien s'occuper pour le mois le plus morne de l'hiver !).

 


 
 
posté le 20-10-2010 à 23:41:58

Soirée « femmes » à St Jean

Thème du repas : pommes et pommes de terre. J’ai amené ma galette « maison » avec mes patates « Madame de » (Pompadour !)  rapées avec ma raïolette (oignon doux des Cévennes) et aromatisées aux 3 herbes (thym, sariette, marjolaine) fraîchement cueillies de mon jardin. Fière de cette œuvre comme de mon retour à ce rendez-vous régulier avant mon déménagement. Des têtes nouvelles plus souvent qu’anciennes, un jeu qui tourne autour notre petite tablée (une douzaine) pour dérider les timidités en faisant connaissance.
 


 
 
posté le 20-10-2010 à 07:55:23

Bilan

Mon départ de St Jean, bienvenu pour m’écarter d’un paysage familier devenu douloureux, m’a aussi éloignée d’un certain confort social autant que matériel. En 15 ans de fréquentation, j’avais pu prendre mes habitudes ; la proximité et le choix des commerces, les copines l’été à la piscine quand le gardon se faisait loin et faible, le tordu d’en bas stationnant chaque matin devant la boulangerie, les mamés à l’ombre de la fontaine, les rencontres au fil des jours passés à faire des choses ensemble, à vouloir exister ici tout en venant d’ailleurs…
 


 
 
posté le 16-10-2010 à 23:34:35

Coup de gueule

Je suis sortie de mon dernier cours soulagée. M’étant finalement décidée à poser mes limites à mon harceleuse de service par une réponse courriel neutre et succinte provisoirement efficace, je restais curieuse de voir quelle serait sa réaction de visu lors de notre prochaine rencontre. Nul doute qu’une certaine froideur me fut manifestée dès le départ tandis que je fus la dernière à être saluée et que ce salut fut très vite suivi d’une justification -que je n’avais pasdemandée- sur l’opportunité de l’attitude invasive tenue.
 


 
 
posté le 11-10-2010 à 07:27:28

Ca gronde

La pluie revient en force et surtout en continu : pas dormi cette nuit où j’avais d’abord laissé fenêtre ouverte… sur le monstre ! Le bruit du monstre s’insinuant dans mes rêves à répétition au dénouement toujours absent, ajouté à l’inquiétude d’une réponse adaptée au quasi « harcèlement » d’une de mes élèves (l’unique heureusement) m’interpellant par mail un dimanche pour régler des problèmes de cours. Déjà l’an dernier, j’y avais été confrontée sans parvenir à me fâcher malgré le bouillonnement intérieur que cette attitude pouvait susciter en moi.
 


 
 
posté le 04-10-2010 à 00:30:41

De la ville aux champs,

 je suis passée et revenue.

Une très jolie table m’attendait samedi pour fêter l’anniversaire de Sylvain ; 23 ans pour mon fils unique, mon préféré et le chéri de sa compagne qui nous accueillit, moi et ses parents, avec toute la créativité et l’amour qu’elle avait décidé de consacrer à cette journée.