Après avoir traîné toute la matinée sur le net à la
recherche d’un porte-bébé « super canon pas cher » pour la naissance
de ma première nièce, je me suis décidée à sortir, le bras droit commençant à
fourmiller. Petite douche propette et hop au… jardinet, c’est à dire le petit
fourre-tout qui jouxte ma cave préau, un étage au-dessous. Idée première :
récolter outils et poireaux en pépinière (depuis deux mois presque !) pour
aller planter tout ça au GRAND jardin (me vl’a riche, enfin !!!!) de 150
m2 (Ah bon, c’est tout ?...) , à quelques roues de vélo. Donc, je me mets
à farfouiller, tombe sur ces gros bidons de 20 l dénichés récemment à la
déchetterie occupant tout mon interstice abrité sous prétexte d’être en partie
remplis de fioul (tu sais celui, domestique, que mon chauffagiste jadis préféré
m’estorqua par 80 litres, parce que soit-disant « y s’enflammait pas,
forcément, t’as pas vu sa gueule pleine d’eau ? !!!). Me voilà donc
partie pour réajuster le niveau des cuvesjumelles en y remettant les derniers 60 litres tirés mais, sous ma
surveillance, cette fois non emportés. Pour accéder au haut des cuves, j’ai
besoin d’alléger mes récipients. Le bidon de 20 litres se divise donc en 5x 4
litres. Autant de manipulation à multiplier par 3 (2x20 litres = 60, vous suivez toujours ?). Je peste,
bien sûr, contre cet « enfoiré » qui, si je l’avais écouté,
m’incitait à vider mes 600 litres de fioul par incompétence technique. Eh oui,
môssieu, c’était juste une panne électronique qui bloquait la pompe à gazoil !!!