De bon matin, nous repartons pour le défilé des 3000 m. C’est vendredi. Le vent s’est levé en pleine forme et nous refroidit de plus en plus sur notre essouflant parcours de montée.
Après cette rupture, je me suis remise à«m’habiller» , jetant l’accoutrement informe devenu quotidien pour des nippes choisies où je me sentais femme. Nous nous étions tant séparés de lit et de corps !
Ici : l'outil servant à marquer les arbres à abattre : la base du tronc sera décroutée avec le tranchant avant d'être frappée au marteau.
en déluge !
Et pendant tout ça, Alain est venu à nouveau m’aider pour une session «luminaires et ventilateurs». Ici des douilles en plastique sortent du mur toujours dans le même sens, perpendiculaires. Il paraît que ce sont les dernières normes ! Peut-être, mais faute d’en connaître le mode d’emploi, nous irons chercher les fils (phase, neutre, et tutti quanti) au fond de ce subterfuge pour poser appliques et lampes. Mais aussi, (le ciel soit loué, enfin frais !), deux de mes superbes ventilateurs de plafond pour enfin cesser de m’avachir dans cette chaleur insensée !!!