Ce matin, un peu de mal à me lever ; je laisse sonner plusieurs fois le portable réglé sur 7H00, puis me décide à émerger 15 mns plus tard, la tête encore dans mon dernier rêve. Sur les toits, la pellicule blanchâtre est encore là, même si déjà hier, le soleil tapait franc.
Départ du parking de la poste, ce matin à 8H45 précises. Mon réveil a sonné à 7H30, mais je me suis rendormie... Pas assez pour être en retard, trop longtemps pour éviter une précipitation certaine, en particulier au moment du choix des vêtements. Finalement je sors en gris - pantalon et veste - assorti aux chaussures. Mes "fidèles" sont huilées puisque préparées depuis un mois pour la rando raquettes annulée.
Un autre chantier démarre sur la tête de Renée ; entre ma cuisine et mon salon, les métiers du bâtiment se côtoient avec leurs différents outils...
Oulala, c'est la crise sur mon blog ; 2 visites aujourd'hui !!!
ou comment passer chagrin...
Mardi après-midi : tout le monde est là et même plus...
Le "barbecue"
Façonnage d'un couteau et de son manche
trèfle à 4 feuilles garni de fers à cheval en guise de dessous de plat (pour un repas faste et digeste) !
Sylvain essaye le nouveau lit ; têtes et pieds relevables à commande électrique. Le matelas pourtant ferme, ne semble nullement déranger son repos. Depuis le temps que je me coince des oreillers sous le dos pour lire au lit sans jamais me trouver confortable, je pense pouvoir apprécier cette différence. Premier essai ce soir après avoir passé la matinée à caser le fourbi qui encombrait ma chambre depuis les travaux entamés dans la salle d’eau, où l’on change la douche de place ! Images à venir…Dehors, une courte escapade m’amènera sur un lieu particulier : l’ancienne « Maison Rouge », usine textile à la belle époque du ver à soie des Cévennes. Actuellement en réfection pour devenir un musée. Les travaux on transformé l’ancien tapis de violettes par un carré de boue. Mais je fais d’autres découvertes, piquée par la curiosité…
Je n’y arrive plus ; contenir la haine que je nourris pour toi, je ne peux plus. Etouffer ma souffrance de ne pas avoir été justement traitée, reléguer mon besoin de me faire entendre et reconnaître enfin dans ce tort que je ne méritais pas.
que c'est au même endroit ?
YOUPI, il pleut ! Je peux enfin commencer les travaux dans la salle de bain... ici aidée par Alain pour la pose du lino. Je lui fais confiance et l'aide en l'observant attentivement. Il faut du doigté et de la stratégie ; aucun mur droit, pièce petite et encombrée.