posté le 30-05-2014 à 21:07:48

Du Mercou à Perjurade

Yves, Monique, Gérard et moi nous sommes retrouvés à 8H30 comme prévu pour le départ. La journée démarrait venteuse et ensoleillée, contrairement au ciel voilé annoncé par la météo. Après avoir posé une voiture près de la Maison Forestière, nous remontions au Mercou pour emprunter le GR menant au col du Bedos, puis à la Mortière.

 


 
 
posté le 19-05-2014 à 23:11:09

Paris-Cévennes

Un petit tour à la capitale où le soir de mon arrivée m’offre un petit vent de panique devant une porte obstinément fermée et un répondeur sans issue. J’ai la chance de rentrer au moins dans la cage d’escalier velours derrière une valise à roulettes m’ayant dépassée. De là, que faire ? Robert  m’indique une AJ à joindre au canal St Martin, mais il est tard et je n’ai pas envie de repartir. La journée fut longue entre mon départ pour Nîmes et mon billet ouigo, l’attente au guichet à Marne la Vallée puis le restant du trajet jusqu’à la porte de St Ouen. A force d’errer d’une porte à l’autre, j’apitoie la voisine du dessous qui m’ouvre la sienne. Pas en grand, mais quand même ; assez vite, je me vois nantie d’un super sandwich procciuto-fromage que j’avale avec ardeur. Ensuite, je sens bien que cette femme charmante voudrait bien se coucher sans moi. Mais je m’incruste en me faisant minuscule, campée sur un divan droit, un livre dans les mains.  Il est 22h passé et ça bouge au-dessus de sa chambre. Je rappelle les intéressés censés m’attendre depuis 2h30 et …miracle, on me répond !

 


 
 
posté le 11-05-2014 à 22:03:45

Derrière chez moi

Lilas des indes, vigne, seringuat, iris...

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Tout ce qui ne se voit qu'à pied

 


 
 
posté le 09-05-2014 à 05:11:44

Le 6ème jour

Le vent s’est remis à souffler après presque une semaine de répit. J’ai brûlé mon dernier tas cette après-midi. Il restait quelques branchages au-dessus des cendres ; pas de quoi faire un brasier, mais… j’ai jeté un œil vers là-haut dans la nuit noire, par inquiétude. Aucune lueur suspecte en vue.

 


 
 
posté le 07-05-2014 à 00:12:13

Ivresse

Depuis samedi je « bosse ». A m’en faire mal au dos, mais sans relâche. Contente ; du travail et du prix que l’on me paye pour le faire. Je suis dans un jardin, immense : talus et terrasses. Enherbées depuis décembre ; des tailles de bois dans un coin, des plants à retrouver, du bazard perdu entre les pierres, le lierre qui envahit les murs, les repousses d’érables ou d’acacia au milieu des iris, un pente à me faire jeter en arrière… mais j’y vais.