posté le 20-07-2012 à 08:00:12

A la villle

Bien avant de me réveiller, j’avais décidé de combiner les mouvements nécessaires de ma journée du lendemain (poste,  achats en ville, médiathèque,…) avec 12 h de « vacances » vannières, histoire de me distraire en renouvelant l’air de mes inspirations.

Une fois  sorite de la pharmacie, me voilà filant en remontant la grand rue en direction de la Poste. J’aperçois Monique à pied devant moi et la hèle joyeusement tout en freinant … pour me retrouver à ses pieds, le vélo sur le flanc après un dérapage inattendu,  heureusement retenu par mon amie aussi surprise que moi !

Coude et talon ébréchés, je me laisse entraîner vers un petit café au domicile du couple avec force pansements, salutaire préambule à l’objectif premier, à peine retardé.  Au guichet, Mme C, toute vêtue de mauve avec un de ces décolletés plongeants – qu’elle a fréquents- sur une poitrine avenante, me salue presque gaiement … pour m’intimer peu après l’ordre d’aller terminer les écritures nécessaires à mes transactions sur une banque éloignée de la sienne, laissant ainsi la place aux postulants suivants . La cause étant juste mais le ton désagréable, je m’entends lui répondre agacée « Vous m’en demandez des choses ! »,  car me déplaçant difficilement nouvellement encombrée que je suis du colis qu’elle m’a d’abord remis. La fin des opérations se déroule dans un professionnalisme de bon aloi (j’ai droit pour chacune d’entre elles à « Voulez-vous un reçu ? », ce qui n’arrive jamais d’habitude), et je sors apaisée en croisant mon homonyme, qui m’apprends qu’elle aussi va être grand-mère en septembre prochain. Nous échangeons des nouvelles et nous quittons en nous promettant de nous montrer les photos respectives de nos petits-enfants.

Petit tour au jardin où j’aperçois les fraises, que je croyais avoir trucidé pour cause de maladie, renaître de leurs cendres au milieu du chiendent. D’entrée une petite guêpe m’inflige une cuisante douleur au doigt qui se tend vers les framboises. J’examine le coffre à outils ; un nid y est construit dans un angle, comme je le soupçonnais. Je le détruirai un de ces soirs, à la fraîche, quand tout le monde sera rentré… Je cueille une ou deux salades avec du persil, récolte la troisième fournée de haricots, examine les oignons dont j’ai coupé l’eau, surveille tomates et courges. Les mures commencent à noircir pour prendre le relais des framboises ; une bonne chose !

Juste avant de partir, j’emmène une grande brassée de fleurs destinées à ma voisine du rez de chaussée qui vient d’accoucher d’un petit Vivien. Je n’ai pas encore vu son bébé et il dort quand sa maman,  très contente, me remercie pour le bouquet. S’il est comme son papa, il sera un champion de pétanque dans quelques années (c’est déjà ça !).

Et puis, me voici partie, en voiture cette fois, pour « la ville », à 40 mn de là. Première étape : St Christol, dont j’affectionne la médiathèque, le lieu certes, mais surtout l’accueil et le sourire des bibliothécaires, avec qui la conversation et la recherche de nouveautés musicales ou livresques est un plaisir renouvelé. Je choisis quelques livres audio (ça m’aide pour travailler), deux à trois romans policiers et un incongru « la psychologie du pingouin », 6 cd  de jazz vocal et instrumental et 4 films relativement récents (je ne vais quasiment jamais au cinéma !). Ensuite, je fais au saut au dépôt-vente « BB » à quelques pas de là, histoire de m’informer sur les derniers équipements correspondant à ceux qu’il me faudrait pour accueillir dignement mon petit-fils en tranquillisant ses parents. Malgré la crise, ce marché semble évoluer et prospérer allègrement. Toutes les échelles de prix y sont présentes. Pour ma part, comme à mon habitude, je vise les produits haut de gamme  d’occasion et en bon état, au prix du  tout-venant neuf. D’après mes premières recherches,  il vaut mieux acheter directement de particulier à particulier. D’abord, en allant chez la personne qui vend, on peut vite se faire une idée du soin qu’elle prend de ses affaires , ensuite, le prix reste négociable ou moins élevé qu’en magasin.

Finalement, je vais voir Miro, exposé au musée Pierre André Benoît, un éditeur alésien dont la  maison abrite désormais diverses collections. Je remarque que Miro utilise essentiellement 4 couleurs, bleu, jaune, vert et rouge, outre le noir dont il se sert principalement pour cerner ses personnages, et j’admire l’équilibre qu’il parvient à trouver avec ces seules teintes.  On perçoit l’humour et la spontanéité enfantine qui jaillit de son esprit ludique. Certaines de ses toiles retiennent particulièrement mon attention et je prends quelques photos  dans le but de les partager. Mais je n’aurai pas ce plaisir ; les caméras m’ont filmée et je me vois contrainte de les supprimer de mon nouvel appareil. Cela m’a permis au moins de tester ses qualités dont voici deux  exemples :

 

 

quelques immortelles du jour...

 

 

 

 


Commentaires

 

1. Françoise R  le 22-07-2012 à 21:01:54

eh ben , y'en a des choses à Saint-Christol !!! et moi qui ne vais pas à la médiathèque en ce moment .. Bises F

 
 
 
posté le 18-07-2012 à 21:36:32

Un drôle de petit panier

Je ne l’ai pas encore apprivoisé car, partie d’un objectif à respecter (une commande de ma sœur), là où je suis arrivée m’a encore surprise…  Comme je l’avais commencé hier  en espérant arriver à un autre résultat, me voilà déçue. Il est bien fait certes mais, outre que le résultat escompté n’est pas au rendez-vous, il m’apparaît trop bizarrement fagoté pour attirer le chaland… J’ai remarqué que certains modèles plaisent, et d’autres jamais. Même pas question de la difficulté, du temps passé… mais de la recette ! Une harmonie du tout ; forme, dimensions, couleurs. Le mot s’appelle EQUILIBRE. L’idéal, pour un artisan soucieux de ses revenus, étant de trouver l’objet capable de se vendre et de se fabriquer rapidement. Rapidement ???   2 jours pour un panier à  40 € (matière comprise et celle-ci a augmenté de 65 %  du jour au lendemain cause embargo sur l’Indonésie qui ne vend plus aux chinois, nos intermédiaires, qu’au compte-goutte… enfin d’après les dires de mon fournisseur ; faut que j’aille vérifier ça). Mais pourquoi n’obtempère-je point ? Là, je planche sur une commande d’Isabelle qui veut stocker sa pile de « Le Monde » dans un panier style panier à buches ou glaneuse. Bene. Sauf que sa pile atteint au moins 35 cm et qu’à cause de ça, je suis obligée de biaiser par rapport à  ma première idée (pour laquelle j’avais déjà un modèle tout prêt !). Donc, plus de temps, et de creusement des méninges pour obtenir l’objet jamais réalisé.

Vous me direz ; « Quoi ? Un panier à buches, tout le monde en fait ! » . Oui, en osier. Mais en rotin, les fonds carrés, moi, je les obtiens autrement, parce que la matière est différente, plus souple et aussi donc moins rigide quand on en aurait besoin… Vous voudriez savoir ? Et bien, venez à un de mes stages !!! Ah, Ah !  Du coup je me retrouve avec un autre panier que celui prévu parce que pas assez cogité sur la base. En même temps c’est ce qui fait mon charme (petit minute d’autosatisfaction et de louange autoproclamée) !!! Enfin après quelques heures de turpitude genre « je continue ou pas ? ». L’enseignement magistral reste : « quand tu doutes, laisses reposer et reprends plus tard ».

Ceci dit, ça donne parfois des résultats que d’autres m’envient (je ne leur dirai jamais que je ne l’ai pas fait exprès !). C’est aussi pourquoi je suis venue aux paniers après avoir pratiqué le tissage sur métier. Pour l’improvisation possible, un sentiment de liberté que je savoure énormément. Alors je ne me plains pas, non, j’expose !

Et puis là, pour le quotidien, faut que je vous dise ; comme je n’arrivais pas à joindre mon "fournisseur d'accès" par téléphone parce que son répondeur (exaspérant !) s’obstinait à ne pas envisager le problème auquel j’étais confrontée, je lui ai envoyé une lettre… par mail. A la suite de quoi il m’a été répondu :

  1.  qu’il avait bien reçu mon message et s’empresserait de le traiter dans les délais
  2. qu’il m’incitait à recontacter le service clients pour lui soumettre mon problème

J’ai retenu mon premier mouvement (d’humeur) en appliquant la règle d’or… Le lendemain, j’ai appelé le fameux service en obtenant une réponse  positive à l’un de mes soucis, une autre réponse inadaptée et incompétente à l’autre.  Dans le même temps, j’avais envoyé un message à la poste pour leur signaler un incident de fonctionnement sur la réexpédition inopérante mais payante de mon courrier. Ils m’ont appelé aujourd’hui en s’excusant du dommage et en me promettant un mois supplémentaire pour défaut de service. Bene. Cependant, j’ai trouvé dans ma boîte un avis de passage du facteur pour un colissimo ne m’ayant pas été remis cause « absente » !

J’étais là ; certes à écouter à tue-tête "les chœurs de l’Armée Rouge à Paris" sans disposer de sonnette, mais j’étais là et j’aurais pu entendre s‘il avait seulement essayé de frapper à ma porte. Bien sûr, j’appelle les réclamations pour une explication et on me répond que le facteur n’est pas tenu de monter les étages pour un « simple » colissimo et que un «colissimo », justement parce qu'il est simple, ne peut m’être représenté (seuls les recommandés le seraient).  Donc, je repose le combiné en me disant que, c’est idiot, je dois aller à la poste pour d’autres raisons, mais que j’aurais préféré un autre bureau,  l’unique préposée du village m’ayant procuré plusieurs raisons de ne pas apprécier ni son efficacité ni son amabilité  au travail (la dernière étant un coup de fil prolongé  avec un supposé collègue à qui se plaindre en me faisant « marronner » 10 minutes devant le guichet où j’étais seule et tellement contente, au début, de ce fait. Une autre personne arrivant sur ces entrefaites, et moi pressée et indignée (on n’avait même pas répondu à mon « bonjour !»), je me suis éclipsée en un retentissant « c’est inadmissible ! » : ce qui, à n’en pas douter au vu de l’attitude hautaine et désagréable de ladite postière (car, bien sûr, je souffre d’un manque total de psychologie tandis qu’elle est constamment débordée !) depuis à mon égard, a du faire jaser…

En plus de ça, ironiquement, un des trois brise-vue que j’avais installés sur le balcon est tombé cette après-midi alors que je venais juste de refixer hier celui tombé en mai dernier. Quelque chose me nargue, dirait-on ? !!!

 

 


 
 
posté le 16-07-2012 à 09:23:41

Humeur

Après la finalisation d’un panier nouveau, un grand nettoyage (vitres comprises) de la maison –Philippe ne croyait pas si bien dire en me déclarant qu’à son avis le principal intérêt de sa présence sous mon toît résidait sans doute dans le fait de limiter ma tendance naturelle à éparpiller ici et là des objets qui, dans un contexte normal, m’auraient vite envahie – après, donc  un nouveau tour au jardin, assorti d’une récolte de haricots, concombres, craquantes et rhubarbe (les framboises se dégustant sur place),  une ou deux conversations entre voisins, des fleurs pour la maison…  ça va déjà beaucoup mieux.

 

 

 

Tiens, à ce propos (parce que c’est le même personnage qui me l’a envoyée), je ne résiste pas à l’envie de vous communiquer ceci :

 

 

 Courrier d'une vieille dame à sa banque !

 

 

Cher Monsieur,
Je vous écris pour vous remercier d'avoir refusé le chèque qui m'aurait permis de payer le plombier le  mois dernier.

Selon mes calculs, trois nano-secondes se sont écoulées entre la présentation du chèque et l'arrivée sur mon compte des fonds nécessaires à son paiement.
Je fais référence, évidemment, au dépôt mensuel automatique de ma pension, une procédure qui, je dois l'admettre, n'a cours que depuis 26 ans.

Il me faut d'ailleurs vous féliciter d'avoir saisi cette fugace occasion et débité mon compte des 30 euros de frais pour le désagrément causé à votre banque.

Ma gratitude est d'autant plus grande que cet incident m'a incitée à revoir la gestion de mes finances - après tout, je n'ai QUE ÇA à faire.

A partir d'aujourd'hui, je passerai dix (10) fois par jour au guichet de votre agence (nous sommes voisins) et notamment à 11H50 et 16H50 pour retirer 2 EUR ; je déposerai aussi des espèces (1 EUR) et demanderai un reçu.

Je paierai TOUS mes achats (même ma baguette de pain) par chèque. A ce propos, veuillez m'envoyer immédiatement cent (100) chéquiers.


Comme il m'arrive d’oublier de signer certains chèques ou de noter des montants chiffres et lettres différents, je vous demanderai de faire très attention puisqu'il s'agirait d'une faute de votre part.
Bien entendu, je préviendrai mes commerçants et leur demanderai de faire une copie de mes chèques, avant de les porter.

Je vais interrompre TOUS mes prélèvements automatiques, je paierai par chèque. TOUS mes courriers seront déposés à votre banque et adressés au directeur avec la mention "CONFIDENTIEL NE PAS OUVRIR".

Je compte changer tous les mois ma signature légale : avec tous ces vols de chéquiers on n'est jamais assez prudent.

Dorénavant, si vous me téléphonez, vous entendrez " appuyez sur la touche étoile de votre téléphone" Vous devrez choisir la langue 1, 2, 3 ou 4 (eh oui, à 86 ans je parle 4 langues)

Une fois la langue sélectionnée, vous devrez :

taper 1 pour prendre rendez-vous avec moi
taper 2 pour toute question concernant un retard de paiement
taper 3 pour me laisser un message
taper 4 pour me parler
taper 5 pour retourner au menu principal et tout recommencer

ENFIN, avant de me parler, vous entendrez une belle musique, chantée par moi (pas de droit SACEM) que vous connaissez sûrement et qui s'intitule :
"Le petit bonhomme en mousse".

Je vous souhaite une heureuse nouvelle année, et vous dis donc A DEMAIN.


Respectueusement,

Mme M.I.

Moralité :faut pas faire chier les vieux !

 

……….Car ils en ont encore ….des ressources !!!
 


 
 
posté le 15-07-2012 à 01:17:31

Cry me a river

C’est ce que j’ai chanté ce soir après bien longtemps, accompagnée par la guitare de Christophe qui clôturait un stage de jazz vocal au lieu dit « le  Mazel » chez Brigitte. Une trentaine de personnes pour le concert des stagiaires puis autour de la table gourmande que nous avait préparée notre hôtesse, entre vin de pêche et tapenade maison, pain du logis, melon et tartes à façon.  De quoi mettre de bonne humeur en devisant gaiement avec son voisin. J’en fus. Et puis, la musique revenant au dessert, je sortis mes partitions.  « Black coffe » avait déjà été magnifiquement interprété par Juliette ; j’ai donc commencé par le retentissant «Don’t get around much anymore» pour poursuivre avec «Cry me a river», à la fin spontanément repris par l’ensemble des attablés, ce qui m’a fait chaud au cœur, outre le goût du guitariste à retrouver une vieille complicité.

Et mon plaisir m’a étonnée ; oui, j’ai aimé m’entendre et me sentir appréciée, écoutée.  L’envie de revenir à ma voix, avec un vrai accompagnant, de ceux qui me laisseraient la place suffisante pour me dire avant de vouloir me combattre, oui l’envie m’a repris d'un coup.

Je ne sais si cela débouchera sur quelque chose ; je sais trop ce que je veux maintenant pour me priver du meilleur.  Cet espace dont j’ai besoin pour m’exprimer en entier, une liberté, un ton, une place… et jamais l’impression de devoir rentrer dans un cadre pour satisfaire le tout !

Christophe, comme beaucoup d’autres, veut des chanteuses-lectrices-instrumentistes. J’ai des connaissances autres (solfège, accords, harmonie), mais si cela m'aide pour déchiffrer une partition où deviner une tonalité, j’interprète et travaille essentiellement d’oreille et c’est ce qui m’importe le plus. Déjà petite, je collais l’oreille contre le haut-parleur du tourne-disques pour entendre toute les mélodies que j’affectionnais. Rien ne se perdait.  Je ne m'autorisais à chanter qu’ une fois acquise, dans mon silence avide, toute la mélodie.

J’ai ainsi beaucoup amélioré mon anglais et partiellement découvert le brésilien, de nombreux auteurs choisis me laissant sur l’envers de leur pochette  de disque des paroles à traduire. Et il fallait que je comprenne ce que je chante. Et c’est toujours ainsi aujourd’hui….

 

 

 

 


Commentaires

 

1. Françoise R  le 16-07-2012 à 17:11:05

ça serait super si tu te remettais à donner des concerts ! celui où vous aviez chanté avec Sharon était un régal .. ( à part le petit pbme de sono inutile ). Et pourquoi pas proposer aux assistants une participation aux frais ? Bises F

2. luside  le 17-07-2012 à 06:07:25  (site)

Eh bien, chère Françoise, je te remercie pour cet enthousiasme ! Malheureusement, Sharon a d'autres priorités depuis un an. Et je n'ai pas recherché d'autres opportunités depuis. C'est peut-être une erreur...

 
 
 
posté le 13-07-2012 à 22:36:59

Au loin les flonflons…

Fenêtres ouvertes, la musique m’arrive de la place toute voisine ; trompette et batterie sur un air de fanfare. Bientôt le feu d’artifice commencera entre le pont vieux et le pont neuf. L’an dernier, je suis sortie de mes cartons pour aller l’admirer. Je n’avais pas loin à marcher. Je préfère la petite maison en été ; l’appartement en hiver. Mais la petite maison est occupée désormais par d’autres locataires du nouveau propriétaire (en fait « l’homme de main » de l’ancien propriétaire). Désormais, il y a des WC dans chaque chambre (ce n’était pas rien de descendre et remonter plusieurs fois par nuit l’escalier tortueux qui menait au salon !). Je ne peux rien regretter ; mes finances ne m’auraient pas permis d’y rester, de toutes façons ! Même ici, c’est difficile en ce moment.

Ce que j’y aimais ? L’authenticité du voisinage (comme une famille), la beauté de la rivière, la proximité du village sans être obligée d’y passer pour rentrer chez moi ou aller au jardin, la nature toute proche.

Aujourd’hui, je me suis confinée dans l’atelier pour avancer mon programme, de 8H à 19 H avec très peu de pauses (entre deux trempages, une seconde tournée de compotes d'abricots achetés avec une caisse de pêches hier). J’ai juste eu ensuite la force d’aller acheter une bière pour me récompenser. Mais sortir et voir du monde me manque ;  comme un plat principal. Je n’ai même pas eu envie d’aller au jardin, ni à la rivière… tout en rêvant d’aller poursuivre mon polar en cours au bord de l’eau. Bizarre ! L’été me pèse un peu trop…ici. Je rêve encore d'un ailleurs calme et frais.

 

 
 


Commentaires

 

1. Françoise R  le 16-07-2012 à 17:08:01

Qu'est-ce que c'est ton polar ? c'est bien ?

2. luside  le 17-07-2012 à 06:00:43

Il s'agit de "Un crime chînois" de Mary London : un suspense bien écrit, qui se déroule dans une ambiance "lord et châteaux" trés british... Là, je n'ai plus grand chose à me mettre sous la dent : je sens que je vais te faire une petite visite !Clin doeil1

 
 
 
 

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